Je ne suis pas une grande fan des romans se basant exclusivement sur des échanges de mails, mais celui-ci avait un résumé suffisamment accrocheur pour que m'y intéresse de plus près...
Une lettre reçue par erreur, et voilà que Marguerite s’emballe en envoyant un mail à l’expéditeur, un certain Archibald. Ils n’ont rien en commun, à part leur âge, leur célibat et leurs expériences sentimentales déçues. Marguerite est ouverte, bavarde, sincère, agaçante. Archibald est taiseux, bourru, imprévisible, attachant. Et pourtant, une relation épistolaire improbable et mouvementée débute entre ces deux célibataires endurcis...
Une lettre reçue par erreur, et voilà que Marguerite s’emballe en envoyant un mail à l’expéditeur, un certain Archibald. Ils n’ont rien en commun, à part leur âge, leur célibat et leurs expériences sentimentales déçues. Marguerite est ouverte, bavarde, sincère, agaçante. Archibald est taiseux, bourru, imprévisible, attachant. Et pourtant, une relation épistolaire improbable et mouvementée débute entre ces deux célibataires endurcis...
Jusqu'où les mènera-t-elle? Prendront-ils enfin conscience que leur bonheur ne dépend que d'eux?
J'avoue, les romans épistolaires, ce n'est pas trop mon truc... Autant j'ai adoré Les liaisons dangereuses, autant mes autres tentatives avec ce genre ont été un échec total: je me rappelle encore ma cuisante déception avec Quand souffle le vent du nord et plus encore avec sa suite, La septième vague...
Il n'empêche que le résumé de ce livre-ci a réussi à titiller ma curiosité, j'étais curieuse de rencontrer Archibald et Marguerite (rien que les prénoms déjà, ça annonçait la couleur ^^), du coup je tiens à remercier NetGalley pour m'avoir permis de découvrir ce livre.
Quand j'ai commencé ce livre, j'étais franchement enthousiaste. Marguerite reçoit une lettre par erreur, et elle est tellement touchée par son contenu qu'elle décide d'écrire à son expéditeur. Seulement voilà, ce dernier prend assez mal le fait qu'une inconnue ait ouvert la lettre alors qu'elle ne lui était pas destinée. Marguerite ne se laisse pas démonter, et c'est ainsi que débute son improbable correspondance avec Archibald.
Certains passages m'ont franchement fait sourire, Marguerite a de la répartie et un certain sens de l'humour, Archibald est plutôt ours mal léché, mais il faut avouer qu'ils forment un couple attendrissant. Leurs échanges m'ont parfois mis du baume au cœur, d'autres m'ont paru un peu tirés par les cheveux.
J'avoue également qu'à la place de Marguerite il y a certaines fois où j'aurais coupé court. Archibald est plutôt soupe au lait, il s'emporte facilement, mais parfois il dépasse les bornes. Pour ma part, il me parle comme il le fait avec Marguerite, mais je l'envoie sur les roses et ciao! Mais Marguerite reste, est-ce un effet de la solitude? Sans doute, mais cela n'excuse pas tout!
Marguerite a un lien particulier avec sa famille, elle travaille avec ses parents et ses frères, et si j'ai bien compris vit chez eux ou en tout cas très près de chez eux. Elle n'a pas vraiment coupé le cordon, avoue elle-même chercher l'approbation de son père, rêve de partir en voyage mais n'ose pas. J'avoue que plus d'une fois j'ai eu envie de la secouer et de lui dire "mais casse-toi de là!"
On voit bien qu'elle est en souffrance et je pense sincèrement que prendre son indépendance lui ferait un bien fou.
Archibald, lui, est flic. Il accepte de rendre service à sa supérieure en logeant sa cousine Jacqueline, fraîchement séparée, sans le sou et sans travail. Après un début de cohabitation difficile, tous les deux s'entendent bien, et Archibald s'ouvre et s'épanouit au contact de ces deux femmes. Bon, lui aussi a des soucis au niveau des relations humaines, le côté bourru ressort un peu trop souvent, mais je le trouve moins "givré" que Marguerite.
Vous l'aurez donc compris, autour de nos deux protagonistes évolue toute une galerie de personnages secondaires: Vincent, le collègue d'Archibald, les parents de Marguerite, ses frères, les épouses et les ex, Jacqueline... Et là, j'avoue que je me suis perdue. Plus j’avançais, plus j'avais de mal à me rappeler qui étaient Valérie, Elena, Katia, Ana...
La surabondance de personnages secondaires finit par desservir le livre, alors que l'histoire commençait vraiment bien et était franchement sympa.
De même, une fois la moitié atteinte, j'ai commencé à trouver le temps un peu long, je trouvais que l'on tournait en rond. Ca sentait l'embourbement, mais finalement l'auteur réussit à trouver de nouvelles idées qui lui permettent de rebondir et de continuer son histoire.
Pour autant, j'ai trouvé la deuxième moitié plus longue, on avançait beaucoup plus doucement, et là j'ai eu du mal à continuer ma lecture.
La fin est également prévisible, mais pas désagréable. On se pose pas mal de questions, les choses dérapent du côté de Marguerite et il y a du chamboulement dans l'air pour Archibald.
J'ai l'impression d'avoir surtout parlé des côtés négatifs de ce livre, alors qu'il était quand même loin d'être désagréable. Je pense quand même qu'il conviendra plus aux personnes aimant les personnages farfelus et les romans épistolaires, entièrement composés de mails, ce qui n'est pas forcément mon cas. Je trouve qu'au bout d'un moment ce type d'échanges devient lassant, on tourne très vite en rond, j'ai besoin de vrais dialogues, d'une vraie rencontre, d'un vrai face à face, et du coup forcément je reste sur ma faim.
J'avais de grands attentes, toutes n'ont pas été atteintes, mais il n'en reste pas moins que j'ai passé un bon moment en compagnie de nos deux célibataires!
Pour autant, Marguerite et Archibald vont-ils franchir le pas ultime, celui de la rencontre? Pour le savoir, il vous faudra lire ce livre!
Il n'empêche que le résumé de ce livre-ci a réussi à titiller ma curiosité, j'étais curieuse de rencontrer Archibald et Marguerite (rien que les prénoms déjà, ça annonçait la couleur ^^), du coup je tiens à remercier NetGalley pour m'avoir permis de découvrir ce livre.
Quand j'ai commencé ce livre, j'étais franchement enthousiaste. Marguerite reçoit une lettre par erreur, et elle est tellement touchée par son contenu qu'elle décide d'écrire à son expéditeur. Seulement voilà, ce dernier prend assez mal le fait qu'une inconnue ait ouvert la lettre alors qu'elle ne lui était pas destinée. Marguerite ne se laisse pas démonter, et c'est ainsi que débute son improbable correspondance avec Archibald.
Certains passages m'ont franchement fait sourire, Marguerite a de la répartie et un certain sens de l'humour, Archibald est plutôt ours mal léché, mais il faut avouer qu'ils forment un couple attendrissant. Leurs échanges m'ont parfois mis du baume au cœur, d'autres m'ont paru un peu tirés par les cheveux.
J'avoue également qu'à la place de Marguerite il y a certaines fois où j'aurais coupé court. Archibald est plutôt soupe au lait, il s'emporte facilement, mais parfois il dépasse les bornes. Pour ma part, il me parle comme il le fait avec Marguerite, mais je l'envoie sur les roses et ciao! Mais Marguerite reste, est-ce un effet de la solitude? Sans doute, mais cela n'excuse pas tout!
Marguerite a un lien particulier avec sa famille, elle travaille avec ses parents et ses frères, et si j'ai bien compris vit chez eux ou en tout cas très près de chez eux. Elle n'a pas vraiment coupé le cordon, avoue elle-même chercher l'approbation de son père, rêve de partir en voyage mais n'ose pas. J'avoue que plus d'une fois j'ai eu envie de la secouer et de lui dire "mais casse-toi de là!"
On voit bien qu'elle est en souffrance et je pense sincèrement que prendre son indépendance lui ferait un bien fou.
Archibald, lui, est flic. Il accepte de rendre service à sa supérieure en logeant sa cousine Jacqueline, fraîchement séparée, sans le sou et sans travail. Après un début de cohabitation difficile, tous les deux s'entendent bien, et Archibald s'ouvre et s'épanouit au contact de ces deux femmes. Bon, lui aussi a des soucis au niveau des relations humaines, le côté bourru ressort un peu trop souvent, mais je le trouve moins "givré" que Marguerite.
Vous l'aurez donc compris, autour de nos deux protagonistes évolue toute une galerie de personnages secondaires: Vincent, le collègue d'Archibald, les parents de Marguerite, ses frères, les épouses et les ex, Jacqueline... Et là, j'avoue que je me suis perdue. Plus j’avançais, plus j'avais de mal à me rappeler qui étaient Valérie, Elena, Katia, Ana...
La surabondance de personnages secondaires finit par desservir le livre, alors que l'histoire commençait vraiment bien et était franchement sympa.
De même, une fois la moitié atteinte, j'ai commencé à trouver le temps un peu long, je trouvais que l'on tournait en rond. Ca sentait l'embourbement, mais finalement l'auteur réussit à trouver de nouvelles idées qui lui permettent de rebondir et de continuer son histoire.
Pour autant, j'ai trouvé la deuxième moitié plus longue, on avançait beaucoup plus doucement, et là j'ai eu du mal à continuer ma lecture.
La fin est également prévisible, mais pas désagréable. On se pose pas mal de questions, les choses dérapent du côté de Marguerite et il y a du chamboulement dans l'air pour Archibald.
J'ai l'impression d'avoir surtout parlé des côtés négatifs de ce livre, alors qu'il était quand même loin d'être désagréable. Je pense quand même qu'il conviendra plus aux personnes aimant les personnages farfelus et les romans épistolaires, entièrement composés de mails, ce qui n'est pas forcément mon cas. Je trouve qu'au bout d'un moment ce type d'échanges devient lassant, on tourne très vite en rond, j'ai besoin de vrais dialogues, d'une vraie rencontre, d'un vrai face à face, et du coup forcément je reste sur ma faim.
J'avais de grands attentes, toutes n'ont pas été atteintes, mais il n'en reste pas moins que j'ai passé un bon moment en compagnie de nos deux célibataires!
Pour autant, Marguerite et Archibald vont-ils franchir le pas ultime, celui de la rencontre? Pour le savoir, il vous faudra lire ce livre!
lecture sympa
Je ne suis pas super fan non plus des romans épistolaires, je trouve que c'est souvent un peu trop "plat"...
RépondreSupprimerJe pense passer mon tour pour celui ci, du coup :)
belle soirée
Voilà c'est ça, plat est le mot juste...
SupprimerJe ne sais pas si les romans épistolaires me plaisent ou pas. Il faudrait que je teste ^^ Après, peut-être pas avec celui-ci, du coup.
RépondreSupprimerOui je peux comprendre ^^
SupprimerJe serais curieuse de lel ire, je note !
RépondreSupprimerJ'espère que tu aimeras alors :)
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